Cet éditorial, dont le propos est « la justice », a été relevé sur internet, notre staff est heureux de vous en proposer l’essentiel ci-dessous.
Son titre (Belgique: une malade en fin de vie aurait été étouffée par des soignants, la justice enquête) est évocateur.
Annoncé sous la signature «d’anonymat
», l’écrivain est connu et fiable pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur internet.
La crédibilité est ainsi parfaite en ce qui concerne cet article.
Le papier a été publié à une date indiquée 2023-09-09 04:35:00.
Une mère de famille de 36 ans atteinte d’un cancer avait demandé « à partir ». Mais les soignants chargés de la sédation auraient usé un coussin pour l’étouffer. Une enquête est ouverte.
Alexina, une femme d’une trentaine d’années, atteinte d’un cancer incurable, a fait l’objet d’une sédation en Belgique en mars 2022. Malheureusement, celle-ci s’est mal passée. La quantité de produits qui a été injectée dans son corps n’était pas suffisante alors les soignants ont dû utiliser un coussin pour mettre fin à la vie d’Alexina d’après Sudinfo. Le parquet a été averti deux jours avant ses funérailles et il a demandé une autopsie. Les analyses ont en effet décelé des traces d’étouffement.
Le compagnon d’Alexina et sa fille ont alors décidé de porter plainte et de se constituer partie civile contre le médecin et les deux infirmières.
Seul un médecin peut pratiquer la sédation
En Belgique, « seul un médecin est autorisé à pratiquer ce geste. Il peut bien sûr être aidé par le personnel soignant. Mais le geste est un geste médical et uniquement médical. De plus, le médecin qui va pratiquer ce geste important doit être formé et doit savoir quel produit administrer.
Sur le plan pratique, on donne un produit, un premier médicament qui relaxe et apaise, suivi d’un médicament qui endort comme pour une anesthésie générale. Cela suffit. Et si cela ne suffit pas, au bout de quelques minutes, le médecin compétent va injecter du curare. La personne ne va pas se réveiller et va s’endormir paisiblement » a expliqué Jacques Brotchi, membre de la commission de contrôle et d’évaluation sur l’euthanasie belge, sur RTL Info.
Pour lui, ce qui s’est passé pour Alexina « n’est pas une euthanasie. Le fait de qualifier cette situation horrible comme cela dévalorise le geste d’euthanasie, qui est l’accompagnement d’une personne jusqu’à la fin sans douleur. De manière à partir de façon sereine. (…) La loi est très précise à ce sujet et tout se passe bien. »
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Bibliographie :
Étude historique sur l’organisation de la justice dans l’antiquité et les temps modernes,Le livre . Ouvrage de référence.
La question de la justice chez Jacques Derrida,A voir et à lire. . Disponible sur internet.
Même les monstres,Ouvrage .